24 Heures du Mans : le Team Peugeot TotalEnergies dans le peloton de tête après 6 heures

·       Un départ mouvementé en piste

·       Le Team TotalEnergies dans le peloton de tête après les 6 premières heures de course

·       La pluie s’est invitée après 3 heures de course

C’est parti pour le centenaire des 24 Heures du Mans !

Lebron James, légende vivante de la NBA, a libéré à 16h les 62 concurrents de cette 91e édition, 4e manche du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA. Paul Di Resta au volant de la PEUGEOT 9X8 #93 et Nico Müller au volant de la PEUGEOT 9X8 #94 ont pris le départ devant des centaines de milliers de spectateurs.

Les six premières heures de course ont été mouvementées avec de nombreuses sorties de piste et un premier safety car déployé seulement quelques minutes après le drapeau vert. A la reprise, la PEUGEOT 9X8 #93 pointait à la 8e place, suivie par la #94 en 10e position sur une piste avec une adhérence changeante autours du circuit. Les deux pilotes ont ensuite été réguliers atteignant des vitesses de pointe de 336 km/h (#94) et 329km/h (#93) avant de passer le volant à Jean-Eric Vergne et Gustavo Menezes.

Dans la 3e heure de course, un second safety car a été déployé dû à de fortes pluies sur une partie du circuit causant de très nombreuses sorties de piste. La bonne exploitation des aléas et des faits de course a permis au team de prendre la tête de la course.

Les heures qui ont suivies sont tout aussi mouvementées que les premières et le Team Peugeot TotalEnergies reste dans le rythme de la tête de course. Loïc Duval, au volant de la PEUGEOT 9X8 #94 est en 3e position après 6 heures de course. La #93 n’a pas réussi à passer à travers tous les pièges. Après une légère sortie dans les graviers, elle a repris la route sans qu’il soit nécessaire d’intervenir sur la voiture.

ILS ONT DIT

Jean-Marc Finot – Senior VP Stellantis Motorsport: “ Je pense qu’il y aura trois composantes majeures pour la réussite de la course, le rythme, la gestion des faits de course et la fiabilité des voitures. On peut voir qu’en terme de rythme on est proche de celui des essais libres et nous sommes dans les temps des autres concurrents. Concernant les faits de course, nous avons eu des aléas positifs et négatifs donc il faut que nous restions concentrés pour ne pas faire d’erreurs. Enfin, pour la fiabilité de la voiture nous avons tourné six heures sans alertes, mais la course est encore longue. »

Jean-Eric Vergne – PEUGEOT #93 : « Mon premier relais était vraiment long, les conditions n’étaient pas très bonnes et c’était compliqué de rester en piste, ce que je n’ai pas réussi à faire. Je suis parti avec des pneus neufs, ce qui était la bonne stratégie mais j’ai ensuite perdu la voiture à Mulsanne, j’ai fait un tête à queue puis je n’ai pas réussi à faire repartir le moteur, j’ai dû faire plusieurs manipulations et j’ai donc perdu du temps. Quand j’ai rejoint la piste, mon dernier relai, sur piste sèche, était plutôt décent, je me sentais bien, je n’ai pas eu de problèmes, je me battais avec une Ferrari et c’était plutôt sympa. »

Nico Müller – PEUGEOT #94 : « J’ai fait un bon départ, ce qui était l’objectif principal. C’était assez délicat car du Tertre rouge jusqu’à la première chicane, la piste était détrempée mais nous avons réussis à rester en dehors de tout problème, ce qui est le plus important. Mon rythme était plutôt bon car j’ai pu rester au contact des concurrents devant. La voiture roule bien jusqu’ici, sans problème majeur ce qui est positif. Nous nous accrochons, la course est encore longue et nous devons continuer comme cela sans faire d’erreurs.  »